Her Green plastic watering can For her fake Chinese rubber plant In the fake plastic earth. That she bought from a rubber man In a town full of rubber plans. to get rid of itself. It Wears Her Out, it wears her out It wears her out, it wears her out.She lives with a broken man A cracked polystyrene man Who just crumbles and burns. He used to do surgery For girls in the eighties But gravity always wins. And It Wears Him Out, it wears him out It wears him out, it wears him out.She looks like the real thing She tastes like the real thing My Fake Plastic Love. But I can’t help the feeling I could blow through the ceiling If I just turn and run And It Wears Me Out, it wears me out It wears me out, it wears me out.And if I could BE who you wanted If I could BE who you wanted, All the time, all the time, ohhh… ohh… |
Son arrosoir en plastique vert, Pour sa fausse plante en caoutchouc chinoise Dans la fausse terre en plastique Qu’elle a acheté à un homme en caoutchouc Dans une ville pleine de plantes en caoutchouc Pour s’en débarasser. Et ça l’a épuisée, ça l’a épuisée. Ça l’a épuisée, ça l’a épuisée.Elle vie avec un homme brisé Un homme en polystyrène fendu Qui se contente de se désintégrer et de brûler. Il pratiquait la chirurgie Sur des filles pendant les années 80 Mais la gravité gagne toujours. Et ça l’a épuisé, ça l’a épuisé. Ça l’a épuisé, ça l’a épuisé.Il ressemble au vrai de vrai Il a le goût du vrai de vrai Mon faux amour en plastique Mais je ne peux rien de ces sentiments Que je pourrais jeter à travers le plafond Si je me contentais de me retourner et courir Et ça m’a épuisé, ça m’a épuisé. Ça m’a épuisé, ça m’a épuisé.Et si je pouvais être qui tu voulais. Si je pouvais être qui tu voulais, Tout le temps, tout le temps, oh… |